Les pays en voie de développement réclament des pays riches un financement annuel s’évaluant à 1300 milliards de dollars, afin de leur permettre de lutter contre les effets du réchauffement climatique.
La conférence internationale des Nations Unies sur le changement se tient cette année (du 11 au 22 novembre) avec accent particulier sur l’accroissement du financement en faveur des pays pauvres, par les pays riches pionniers de l’émission des gaz à effet de serre.
Chaque année 22 milliards de tonnes de gaz carbonique est libéré dans l’atmosphère, et détruit sensiblement la couche d’ozone ; ce qui est à la base du réchauffement climatique vécu ces dernières années sur toute l’étendue de la planète terre.
Les plus grands pollueurs sont essentiellement les pays industrialisés, avec au premier plan la Chine (11,4 milliards de tonnes/an), les États-Unis d’Amérique ( 5 milliards de tonnes/an), l’Union européenne (3,6 milliards de tonnes/an)et l’Inde ( 2,7 milliards de tonnes/an).
Viennent en deuxième lieu, la Russie, le Japon et l’Iran, avec chacun des émissions qui avoisinent 1 milliard de tonnes/an.
Ce pendant, est-il que tous ces pays ne sont pas prêts à contribuer à une telle hauteur à ce fond compensatoire des préjudices que leur action inflige à toute l’humanité.
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Écosystème & Environnement
COP29 : les exigences chiffrées des pays non-pollueurs enfin connues
- by John Mushaga
- 14 novembre 2024
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- 4 mois ago

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